La première fois qu’on a rencontré Edouard et Romain, c’était un samedi. On les avait appelé un peu plus tôt dans la semaine pour leur parler de notre projet Arnima. Et ils nous avaient exceptionnellement conviés dans leur atelier à Roncq en dehors de leurs horaires habituelles.
Nous étions le 8 juin 2024.
Ils nous ont fait visiter l’atelier, nous ont montré quelques unes de leurs réalisations en cours, et nous ont posé des questions sur nous, sur ce qu’on avait en tête. Le courant est tout de suite très bien passé.
À l’époque, on ratissait encore large pour trouver chaussure à notre pied – ou plutôt, développeur à notre fourgon. Oley se démarquait déjà clairement de tous les autres aménageurs qu’on avait rencontré, mais notre choix n’était pas encore arrêté.
Comme à notre habitude, on a pris le temps pour faire les choses. Il nous a fallut un bon mois avant de se décider sur l’entreprise à qui on confierait la réalisation de notre nouveau chez nous.
Et devinez qui on a choisi ?
Oley. Bingo !
Pourquoi ?
D’abord, parce qu’ils ne nous ont jamais pris de haut. Certains aménageurs avaient balayé d’un revers de la main nos idées avant même de les entendre, sous prétexte que, dans tous les cas, ils savaient mieux que nous. Romain et Edouard, eux, ont toujours été à l’écoute, même de nos suggestions les plus farfelues. La conversation s’est faite dans les deux sens : on a construit Arnima ensemble.
Ensuite, parce qu’on a été convaincus par la qualité de leurs réalisations. Une attention bien particulière est portée aux matériaux et aux équipements utilisés, ainsi qu’à la mise en œuvre des gros comme des petits travaux. Comme on allait vivre dans ce fourgon 365 jours par an, on voulait du haut de gamme – et on n’a pas été déçus.
Et puis enfin, Oley propose du VRAI sur-mesure. Ils s’adaptent à vos envies, et se plient en 4 pour les réaliser, parce qu’ils comprennent que chaque projet qui leur est confié n’est pas juste une nouvelle addition à leur portfolio, mais un véhicule unique pour chacun de leurs clients.
Pour toutes ces raisons, et quelques autres encore, on appelait Edouard et Romain le 17 juillet 2024, et on leur faisait part de notre envie de travailler avec eux.
Heureusement pour nous, non seulement notre projet leur avait plu, mais ils avaient aussi une disponibilité assez rapidement.
Le mardi 3 septembre, on leur laissait notre fourgon vide entre les mains. On leur laissait aussi un cahier des charges d’une vingtaine de pages, dans lequel on avait essayé de détailler au mieux notre vision pour ce projet.
Sur base de ce cahier des charges, Aubane nous a réalisé un dessin 3D qui nous a permis de mieux se projeter, tandis qu’on validait avec Edouard et Romain les équipements à installer (ou pas).
Tout au long des presque 4 mois de travaux, nous échangions régulièrement avec eux. Soit pour valider tel ou tel détail, soit pour suivre l’avancée du chantier grâce aux photos qu’on recevait. On a adoré prendre part, même de loin, à la création de notre fourgon — dorénavant baptisé Youpi.
Le 10 janvier 2025, on prenait la route pour Roncq avec des papillons d’excitation dans le ventre. C’était un vendredi, il faisait beau, et on allait (enfin) récupérer notre maison. On était sur le cul (pardonnez-moi l’expression) de voir le résultat. Tout était parfait, exactement comme on l’avait imaginé. Enfin, presque…
Mieux que ce qu’on avait imaginé.
